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Agenda littéraire

Ça sert à quoi un parti d'opposition?

Après le dépôt du budget 2014, par le ministre conservateur James Flaherty, je croyais naïvement que je pourrais obtenir une analyse critique des mesures fiscales annoncées en visitant les sites Web des partis d’opposition. Et bien, ce que j’ai trouvé est navrant. 

Respecter leur choix quel qu’il soit

Il va y avoir de la houle. Le débat entourant le droit de mourir dans la dignité, l’euthanasie, le meurtre par compassion, appelez-ça comme vous le voulez, ne fait que commencer.

On n’a plus le patrimoine qu’on avait!

Lundi dernier, les dirigeants des organismes fransaskois ont participé au volet saskatchewannais d’un exercice d’information/consultation initié au niveau national par Patrimoine canadien.

La pression des compressions

Après le Conseil des écoles fransaskoises, c’est maintenant au tour de l’Assemblée communautaire fransaskoise de jouer à l’équilibriste avec son budget. Une fois de plus, des employés vont écoper. Dépenses imprévues, financement qui n’est pas au rendez-vous, l’histoire se répète et, on peut le craindre, ça ne fait que commencer. 

Lendemain de veille au Québec

Pauline Marois doit sûrement se demander quel train lui est passé dessus. Connaissant la tradition péquiste de persécuter ses chefs défaits en élection, sa décision de quitter la direction du parti est la plus sage qu’elle ait prise depuis quelque temps.

Nouveaux besoins, nouvelles sources de financement

Lors de la dernière rencontre de la Table des élus, regroupant les représentants du réseau associatif fransaskois, le représentant de la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan (CAFS) a déploré le sous-financement de son organisme dont la gestion doit se faire à partir de résidences privées. Il a demandé à ce que la CAFS reçoive une juste part des fonds destinés aux organismes fransaskois.

Tragédie invisible à nos portes

Si je vous apprenais qu’en trente ans 28 000 femmes ont été assassinées ou sont disparues au Canada, vous réclameriez sans doute que nos dirigeants se penchent rapidement sur ce problème. Et si le gouvernement déclarait que ce n’est pas assez important pour une enquête publique, vous seriez scandalisés.

Radio-Canada : un enjeu canadien ou québécois?

Pierre Karl Péladeau, le grand patron de Québécor et maintenant député du Parti québécois, a signé une lettre pour se porter à la défense de Radio-Canada. Celui qui a dans son empire le réseau de télévision TVA et qui a souvent pourfendu la société d’état, reconnaît l’importance de la SRC dans le portrait médiatique et culturel au pays. 

Place de la petite enfance dans notre société

Les jeunes parents qui arrivent du Québec sont toujours étonnés de découvrir ce qu’il leur en coûtera pour que leurs enfants puissent fréquenter un Centre de petite enfance (CPE) en Saskatchewan. Ils sont loin du 7 $ par jour rendu possible par le programme universel mis sur pied par le gouvernement du Québec, programme dont l'objectif premier est de permettre l'accès à un CPE, quel que soit le revenu familial. 

Hubert T. Lacroix : le loup corporatif dans la bergerie radio-canadienne?

Hubert T. Lacroix : le loup corporatif dans la bergerie radio-canadienne?

Saviez-vous que l’avocat Hubert T. Lacroix, avant d’être nommé à la tête de la SRC/CBC en 2007, a enseigné le droit des valeurs mobilières, des fusions et des acquisitions d’entreprises à la faculté de droit de l’Université de Montréal pendant cinq ans? Fusions et acquisitions d’entreprises... Ça ne vous rappelle pas quelques films où on voit des entreprises se faire décimer dans la jungle de Wall Street au nom de la rentabilité?

Et si la solution n’était pas radio-canadienne?

De joueur actif du développement culturel fransaskois, la SRC-Saskatchewan est en passe de devenir un simple témoin suite à des années de coupures massives. Il y a matière à se demander s’il n’est pas déjà trop tard. Quand on a commencé à démolir, il est difficile de rebâtir. 

Le culte du silence

Le culte du silence devient de plus en plus la norme.  Du moins en public.  Au lieu de parler ouvertement, on rumine en silence. Et le mécontentement croît.  

Ça prend tout un village, vous dites?

Dommage que Kafka ne soit plus de ce monde. Il aurait trouvé la situation de la gestion scolaire fransaskoise plutôt inspirante. La semaine dernière, le LeaderPost de Regina a rapporté que le ministre de l’Éducation se dit profondément préoccupé du retard de la paie du personnel enseignant du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). 

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