Depuis une centaine de jours, c’est la guerre. Commerciale, s’entend. Les appels à consommer canadien se multiplient.

Et si cette chronique était écrite par un robot ? Serait-elle meilleure que si j’en suis l’auteur en tant qu’humaine ?

Je profite des derniers beaux jours lors d’un pique-nique entre amis quand, allongée sur l’herbe la main dans le paquet de chips, j’entends : « Tu manges encore du sucre ? »

Trop de vêtements, trop de jouets, trop de livres, c’est effrayant tout ce qu’on peut entasser dans une maison en dix ans.