Nicolas Pellerin et les Grands Hurleurs à la Fête fransaskoise
Samedi soir à la Fête fransaskoise : retrouvailles et découvertes
Nicolas Pellerin et les Grands Hurleurs à la Fête fransaskoise
Photo: Émilie Dessureault-Paquette (2015)
CIRCLE H RANCH - Retrouvailles intimistes et découvertes festives. Voilà les mots qui pourraient qualifier respectivement chacune des parties du spectacle de la soirée du samedi du 11 juillet dernier, lors de la Fête fransaskoise qui se tenait cette année tout près de Saskatoon, au Circle H Ranch.
En première partie, le public a eu le plaisir de retrouver Anique Granger, une artiste d'ici bien connue de la Fransaskoisie. On la sentait un peu fébrile mais très heureuse de retrouver son premier public. Elle venait présenter, pour la première fois en Saskatchewan, les chansons de son tout dernier album, Aimer comme une émeute, sorti en avril dernier. Sa collègue et amie Alexis Normand est venue partager la scène et le micro pour quelques chansons en accompagnant Anique au piano. Les nouvelles chansons d'Anique Granger furent une douce et chaleureuse introduction à la soirée.
En deuxième partie du spectacle, Nicolas Pellerin (le frère de l'autre) et les Grands Hurleurs, sont venus égayer la soirée d'une manière assez festive avec leur musique traditionnelle reprise dans une sauce quelque peu originale, digne de notre Raquette à claquettes. C'était la première visite du groupe québécois en Saskatchewan et les membres du groupe se disaient bien heureux de découvrir et de participer à la Fête fransaskoise. Nicolas Pellerin et les Grands Hurleurs nous ont fait découvrir leur répertoire avec beaucoup d'entrain et de plaisir.
Roger Dallaire a fait une apparition dont il a profité pour 'caller' des set-carrés, et la fête musicale fut ainsi définitivement sur sa lancée.
La soirée s'est terminée avec des chaises vides et un public qui s'est finalement décidé à danser et à tournoyer dans tous les sens dans une ambiance assez joyeuse.
Nicolas Pellerin et les Grands Hurleurs à la Fête fransaskoise
Jeunes et moins jeunes se sont déliés les jambes sur les set-carrés « callés » par Roger Dallaire
Photo: Émilie Dessureault-Paquette (2015)