Actualité littéraire

Laissez les bons temps rouler à La Nouvelle-Orléans! Laissez les bons temps rouler à La Nouvelle-Orléans!

Laissez les bons temps rouler à La Nouvelle-Orléans!

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Le Mardi gras attire des visiteurs qui aiment festoyer, mais La Nouvelle-Orléans offre bien plus qu’une simple foire. Elle nous séduit aussi grâce au panache de sa musique et l’éclat de sa nourriture.

Un cœur d’or Un cœur d’or

Un cœur d’or

Joëlle Lapierre, 9ième année, École canadienne-française de Saskatoon

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Je suis à la table avec ma mère et mon père. Tout est silencieux.  Ils me regardent d’une drôle de façon… Ma mère me dit :      -  Audrey Stéphanie Archer, nous avons quelque chose que nous voulons que tu lises. Cela ne doit pas être très bon. Mes parents utilisent seulement mon...

La fuite

Texte de Gils Mariani, 9ème année, École Valois, Prince Albert

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Je m’appelle Hurley, j’ai 5 ans, et je vis dans l’enclos derrière le garage « Mean Machine ». Mon travail est de faire en sorte que personne n’entre ici.

Il fut un temps : Odienné

Texte de Deborah Seye

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 « Si un jour tu reçois cette lettre, Yohan,  c’est que tout a mal tourné, que le plan est tombé à l’eau. Avant que tu ne te poses plus de questions, nous préférons te laisser comprendre par toi même…

Samba et Sogolon la sorcière

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Il était une fois une sorcière du nom de Sogolon qui vivait dans un village africain appelé Zabota. Elle voulait tuer tous les hommes du village et rendre leurs femmes malheureuses par pure méchanceté. Personne ne savait pourquoi Sogolon agissait ainsi. Dans le village, toutes les femmes s’étaient habituées à la colère de Sogolon et continuaient à vivre leur vie sans s’en préoccuper sauf Samora qui était plus sage, plus belle que toutes les autres.  Elle était malheureuse parce que lorsqu’elle est tombée enceinte, son époux est allé combattre la sorcière et depuis ce jour, personne ne l’a revu.

La légende du cheval enflammé

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Tout à coup, j’entends un bruit comme un mur qui se brise. Je sursaute et je peux entendre le feu et je commence à sentir la fumée. Rapidement, je prends mon fils par la main et je lui dis qu’on doit se sauver. C’est la quatrième fois cette année que notre maison brûle. Je suis très triste, mais ma peur m’empêche de le montrer. On embarque dans la voiture et on part à toute vitesse. Dans le miroir de ma voiture, je le vois, il est devant ma maison et me regarde. Je ferme les yeux et quand je les ouvre, il a disparu. Était-ce mon imagination?

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